Nous savons tous que la lumière du Sud est différente de celle du Nord ou celle des Tropiques. Et ce n'est pas seulement une question de positionnement sur le globe terrestre, du jour de l'année ou des phénomènes météorologiques. C'est avant tout une question de perception.
La lumière… c'est la chose la plus commune qu'il soit, bien plus que le bois ou le métal, et pourtant c'est un des éléments les plus intimes. Je peux dire lumière pâle, lumière froide, lumière aveuglante, lumière chaleureuse,… elle reste toujours égale à elle-même ; ce ne sont que les sentiments qui changent.
En considérant la lumière comme un moyen de reconnaissance d'un espace – physique comme mental – il est alors possible de la relier aux hommes et aux territoires par le biais de l’écriture et d’un langage spécifique à chaque expérience : l’Atlas di luce.
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We all know that the light of the South is different from that of the North or that of the Tropics. And it’s not just a matter of position on the globe, the day of the year, the time or the weather. It’s all above a question of perception.
Light... It’s the most common thing that exists, much more than wood or metal, and it’s one of the most intimate elements. I can say pale light, cold light, blinding light, warm light,... it always remains equal to itself; only the feelings change.
By considering light as a means of recognizing a space – physical as well as mental – it is then possible to connect it to people and territories through writing and a language specific to each experience: the Atlas di luce. |