Mary PUPET 

Les paysages sont affectifs, en eux se noue notre rapport existentiel au monde. Ils furent aussi nos premières certitudes car ils semblaient éternels.
Qu’il s’agisse d’un territoire géographique, d’un paysage géopolitique ou de nos représentations intérieures, nos paysages subissent parfois des turbulences qui modifient nos « sols ».
 
 
 
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