Image sans fin |
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Image Sans Fin, 2024
Installation, tirage jet d’encre 540x360cm découpé et monté sur un set de 16 cubes
Dimension d’un cube en bois 45x45x45cm
16 cubes avec image 3 kg par élément, poids de l’installation 48 kg
6 cubes de support en bois de 8kg, 3 kg par élément, 48 kg
Taille minimale image 180x180x45 cm en bloc |
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Image Sans Fin est l’une des trois installations mobiles de l’exposition monographique « Les Roches Fluides » à la compagnie lieu de création en 2024. L’installation est un jeu grandeur nature où le spectateur est invité à expérimenter la résistance de la matière photographique. Faite à partir d’un seul grand tirage de taille 360x540cm (Mimésis, autoportrait, 2024), divisé en 96 facettes et marouflé sur un set de 16 cubes de 45x45x45cm, l’installation offre une expérience immersive de l’image et questionne les notions du temps et de transformation. |
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Image sans fin
Vidéo de performance 25 min |
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Faire, défaire, construire et reconstruire, Arina Essipowitsch poursuit sa recherche jusqu'à cette dernière proposition : qu'elle n'a pu appeler qu'Images sans fin, quitte à reprendre et citer Brancusi. Et là encore, comme dans les pièces à modules pliables, des combinaisons deviennent possibles pour celle-celui qui regarde… (extrait du DP « Les Roches Fluides », 2024
Paul-Emmanuel Odin |
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Robes |
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Robe, 2024
Installation
Dix photographies imprimées sur tricotex, 250x250cm, barre en métal, cintres
Tirages incisés et portés en performance |
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Robes interroge la potentialité d’habiter l’image, de se couvrir à partir d’elle, de la porter physiquement tout autant que porter l’espace qui y figure. L’impression textile et les incisions apportent une dimension supplémentaire et fondamentale d’interchangeabilité. En effet l’artiste insiste sur la notion de « robe » plutôt que de « costume ». Car ces pièces mobiles, faites de manière que les images entières puissent retrouver leurs formes planes, doivent pouvoir redevenir images.
Anne Eléonore Gagnon, Paris, octobre 2024 |
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Robes
Vidéo de performance, 30 minutes |
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Corpus |
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Corpus, 2024
Installation
Le corpus photographique est constitué de plusieurs pièces à modules (2020/2024).
Chaque pièce à modules est constituée d’une impression photographique double-face travaillée par une série d’incisions et de plis qui en font une image en perpétuelle recomposition. Dépliée en carré, la pleine image de chaque face
peut apparaître, ou encore, elles se déploient dans des configurations au sol et en volume en multipliant toutes
dimensions dans un sens ou dans l’autre. Le visiteur est invité à manipuler l’oeuvre pour découvrir le jeu,
quasi infini, de (re-dé)compositions. |
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Vue d’exposition à la compagnie lieu de création, Marseille, 2024 |
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MÉandres |
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Méandres, 2023
Installation et performance
Tirages papier incisés et pliés, parfumés aux matières premières odorantes, colle, vernis
Taille variable en fonction du pliage, allant de 45 x 45 x 30 cm,
270 x 270 cm pleine image, variant selon la largeur et la longueur de l’espace dédié
Pièce conçue avec le soutien du Jeu de Paume, Paris et avec la collaboration de la Mission Val de Loire et Polau - Pôle Arts.Urbanisme. |
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Méandres est une pièce photographique, inspirée par le chemin qui parcourt le fleuve.
Elle est constituée d’impressions double-face travaillées par une série d’incisions et de plis qui en font une image en perpétuel mouvement. Au recto, figure une vue de la Loire depuis le pont Varennes-Montsoreau, au verso, un autoportrait avec vue sur les gorges de la Loire, quelques centaines de kilomètres plus loin en remontant le fleuve. Les deux images se complètent par une autre paire: vue depuis un bateau sur un paysage aquatique et vue d’un arbre. Cette photographie est olfactive. Les odeurs évoquent les éléments aquatiques et minéraux constitutifs du fleuve.
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"Dans sa pratique photographique, Arina Essipowitsch explore les notions d'identité et de déplacement, déterminées par son parcours de vie. (…) A l'aide de techniques de pliage, de collage et d'incision, l'artiste se réapproprie la photographie à travers un langage visuel particulier: ses œuvres prennent des formes diverses, depuis des modules se déployant sur le sol, des tirages photographiques ou des anamorphoses, jusqu'à des robes qu'elle revêt telle une carapace. À partir d'une série de prises de vue autour d'un même sujet, tantôt minéral ou aquatique, tantôt architectural ou humain, Arina Essipowitsch agrandit, plie, transforme l'image la décomposant en plusieurs modules. Sans jamais séparer ses différents éléments, l'artiste étire ses photographies dans l'espace, construisant de véritables objets tridimensionnels.Parties d'un tout, les fragments d'une même pièce s'associent et forment une nouvelle image, offrant une infinité de combinaisons et prolongeant ainsi l'expérience visuelle de celui qui regarde. Ces impressions portatives témoignent des relations sensibles que l'artiste entretient avec les surfaces et territoires qu'elle traverse. Elles deviennent des traces de sa propre histoire, qu'elle garde précieusement comme un album de famille. Sa démarche n'est pourtant pas documentaire mais introspective, et elle invite à une balade visuelle dans les profondeurs de l'image. Lors de performances, moments solennels où elle nous plonge littéralement dans la matière photographique, Arina Essipowitsch active ses pieces, les dépliant ou les portant, afin de les révéler à notre ceil. Son œuvre est comme un jeu: entre les plis et les incisions, les différents points de vue, les 3modules ou les robes, l'artiste s'amuse à brouiller tout repère d'échelle et d'espace, pour nous inciter à briser les frontières de l'image et à regarder autrement.Cette exposition présente une série de photographies réalisée tout spécialement par Arina Essipowitsch dans la vallée de la Loire et ses environs. S'inspirant du fleuve et de ses méandres, l'artiste propose un voyage dans ces paysages naturels et architecturaux dont elle s'inspire et se nourrit. »
Marta Ponsa, 2023 |
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Vues de l'exposition Déplier l'image, conçue et organisée par le Jeu de Paume, commissariat Marta Ponsa, Château de Tours, Tours, 2023
© Jeu de Paume / Photographie François Lauginie |
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Esterel |
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Palimpseste (Estérel), 2022
Installation olfactive
Dim. min. 45X45x10cm, dim max 1170cm par coté
Tirage papier recto/verso 270x270cm, incisé et plié, parfumé aux deux matieres premières odorantes évoquant la roche et le vent
En collaboration avec AZUR FRAGRANCES
Performance 30 min
Dans cette installation, l’artiste intervient sur le tirage photographique double face par une série d’incisions et de pliages compris dans un protocole strict. La première face donne à voir un autoportrait Mimésis (Roche, Autoportrait, Estérel), 2021, dans laquelle vêtue d’une robe à fleurs, l’artiste propose une confusion visuelle entre elle et le paysage. Pour la seconde face, un paysage capturé dans le même lieu mais ici tourné vers une grotte et la mer agitée. L’artiste collabore avec Azur Fragrance pour la création olfactive à partir de matières premières évoquant l’odeur de la roche et du vent.
L’activation de l'œuvre ajoute un autre principe du mélange et propose ainsi un parcours olfactif à partir de deux matières premières odorantes synthétiques, où l’odorat du spectateur est stimulé par la mise en mouvement et les déplacements de la photographie. L’expérience du corps et de l’espace à partir de l’appel des différents sens du spectateur modifie ainsi le rapport à ce qui l'environne et plus particulièrement l’espace d’exposition lui-même. |
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Palimpsest (Estérel), 2022
Olfactive installation
Installation, cut and folden double-sided photographic print, card board, glue, perfumes, 36 modules
Dim min. 45x45x15 cm, full image 270x270 cm, dim.max 1170 per side
In collaboration with AZUR FRAGRANCES
Performance 30 min
Palimpsest (Estérel) is an olfactive installation, that consists of a large-scale double-sided photographic print, intervened by cutting and folding and making out of it an image in constant evolution. The installation invites the spectator to interact with image and activates all senses. The two images incorporate two perfumes: one that evokes ‘a rock’ and the other evoking a wind fragrance. The print was perfumed in collaboration with Azur Fragrances.
Somewhere between folding map, a puzzle and a memory game, Palimpsest (Estérel) is a heterogeneous and constantly shifting three-dimensional image. Moreover the fragrance gives to the piece another dimension.
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Video de l’activation de l’œuvre, 14:27 filmée en mai 2022 au MIP GRASSE
Projet réalisé dans le cadre de la résidence "artiste en territoire", Pays de Grasse. |
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Chantier |
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Palimpseste (Chantier), 2022
Installation, tirage recto/verso, incisé et plié, 36 modules
Dim min. 45x45x15 cm, déplié en carré 270x270 cm, dim.max 1170 par coté
L’acte de plier une image n’est pas anodin. Il s’agit d’un acte qui change l’intention ; on passe de la notion de figer la réalité pour la conserver, à l'idée de rendre malléable, mobile et animer cette même réalité. Ce passage est au cœur de ma recherche sur l’image et l’acte de faire des photographies.
Chantier, est une installation mobile, qui invite le spectateur à participer à la manipulation de l'œuvre et à devenir le fabricant de l’image. Il s’agit d’un tirage bi-face (autoportraits dans un bâtiment au moment d’un long chantier à la Joliette à Marseille). Le corps et le lieu sont à l'échelle 1, il s’agit d’un échantillon de 270 x 270cm d’un mur de tapisserie et d’une pièce couverte de peinture écaillée. Les tirages sont incisés et pliés de manière à former un ensemble de carrés identiques qui stratifient et décuplent les motifs.
Pendant l’activation de l'œuvre les recto et verso se mêlent en créant de multiples images dites « intermédiaires ». L’image se complexifie, change de forme et de format, s’inscrit en volume. L’image modifie et conditionne le déplacement du spectateur en même temps que ce même spectateur conditionne l’apparition de l’image. Par sa forme, l'installation reprend la notion du palimpseste (un manuscrit constitué d’un parchemin déjà utilisé, dont on a fait disparaître les inscriptions pour pouvoir y écrire de nouveau), celle du chantier tout autant que du temps qui passe par la construction de l’image.
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Palimpseste (Worksite), 2022
Installation, cut and folden double-sided photographic print, 36 modules
Dim min. 45x45x15 cm, full image 270x270 cm, dim.max 1170 per side
Performance 30 min
To fold an image is a statement, it changes the first intention of picture making: from ‘preserving’ or ‘freezing’ the reality to a malleable, mobile, animated image. This process reflect my research on photographing and image making in general.
Palimpsest (Worksite) is installation, that consists of a large-scale double-sided photographic print, intervened by cutting and folding and making out of it an image in constant evolution. Both images are self-portraits of the artist, taken during the renovation of a bigger building complex in Marseille Joliette.
The form of the installation thematises the notion of palimpsest, stratified document and the notion of worksite as the image is in constant process of (de)construction.
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Extrait de vidéo-documentation de performance filmée à L’Espace de l'Art Concret, Mouans-Sartoux, 2022 |
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Palimpseste
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(Recto/Verso : autoportraits, Boulevard des Dames, Marseille, 2014)
405x405 cm, incisé et plié, 81 modules, 2021
Palimpseste est défini comme un manuscrit constitué d’un parchemin déjà utilisé, dont on
a fait disparaître les inscriptions pour pouvoir y écrire de nouveau. J’utilise la notion du
palimpseste comme prétexte pour réfléchir à l’image, sa composition, sa stratification, les
expériences et la forme qu’elle prend le temps, le lieu et le territoire. Il s'agit d'une série d'installations mobiles, qui invite le spectateur à devenir le fabriquant de l'image.
Le sujet des deux photos (autoportrait au recto, autoportrait au verso), est le grand chantier qui s'est déroulé à Marseille à la Joliette. Les deux autoportraits, 2014, ont été pris pendant le chantier, lorsque les appartements disparaissaient ainsi que les tapisseries qui les couvraient, laissant la place aux bureaux.
L'installation représente le lieu à l'échelle 1, il s'agit de 16m2 d'image (d'un mur de tapisserie au 3ème et 4ème étage du bâtiment Boulevard des Dames). Par sa forme, l'installation reprend les notion de chantier et de temps par la construction de l'image. En outre j'aborde la question de l’identité et de la mémoire, notamment de leur malléabilité, dont je me sers comme moyen plastique. J’interroge la place de l’image dans l’espace, non pas en terme de scénographie, mais
dans le sens où les images elles-mêmes sont en perpétuel changement / transformation.
Collection FCAC MARSEILLE |
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Video, documentation de l’activation l’oeuvre, filmée à La Compagnie Lieu de Création, Marseille, 2021 |
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Subjectivations |
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L’installation est constituée d’une impression photographique travaillée par une série d’incisions et de plis. L’image est accrochée in-situ et crée une installation immersive. Un point anamorphique se trouve dans l’exposition. Le visiteur est invité à se déplacer et à découvrir les compositions.
600x800x270 cm, 2020 |
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It's an installation. It consisting of a large-scale photographic print (600x800x200cm, 2020) that has been intervened by cutting and folding, and mounted directly on the exhibition space walls. The monumental image is made to the scale of the architecture. Visitors are immersed in a giant face with its eyes closed and framed by the palms of open hands. This anamorphic point continually appears while moving between other works in the exhibition. |
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Fold |
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FOLD, 2020
Installation, tirage recto/verso, incisé et plié, 36 modules
Dim min. 45x45x15 cm, déplié en carré 270x270 cm, dim.max 1170 par côté |
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Fold est constituée d’une impression photographique double-face travaillée par une série d’incisions et de plis qui en font une image en perpétuelle recomposition. Sa dimension pliée est de 45x45x10cm, dépliée en carré de 270x270cm la pleine image de chaque face peut apparaître, ou encore, elle se déploie dans des configurations au sol et en volume en multipliant toutes ses dimensions dans un sens ou dans l’autre, la largeur pouvant aller jusqu’à 1170 cm. Le visiteur est invité à manipuler l’œuvre pour découvrir le jeu, quasi infini, de (re-dé)compositions.
Dans le temps et dans l’espace il se produit un jeu labyrinthique et surprenant de montage, au sens cinématographique. Les modules carrés sont autant de détails des deux images (Mimesis I, un autoportrait de l’artiste à la Vesse, et Le Vent, un portrait de son ami Masso sur une plage de Fos-sur-Mer) qui semblent n’en former qu’une, à la façon d’un ruban de Mœbius. Les corps photographiés, parce qu’ils sont à l’échelle 1, communiquent intimement avec le corps de la personne qui manipule ou qui regarde. L'artiste se réfère à l’idée de l'identité palimpseste comme à l’un des noyaux de son parcours et de sa recherche.
La photographie elle-même sort de son cadre, pour devenir un pli du temps, un moment de passage toujours à réinventer.
Paul-Emmanuel Odin |
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An installation consists of a large-scale double-sided photographic print that has been intervened by cutting and folding. Its dimensions range from a compact 45x45x-10cm album, to a 270x270 full size image, to a fragmented and fully extended configuration measuring 270x1170.
The viewer is invited to reposition the images square modules, recombining fragmented details to compose new volumes. Thus s/he participates in a novel experience of imagemaking, reconfiguring visual pathways, mixing and verso, and making details (the figure, the protagonist) appear and disappear. Somewhere between folding map, a puzzle and a memory game, FOLD is a heterogeneous and constantly shifting three-dimensional image. It establishes a space of play, departing from the static one-sided print that is designed to be read horizontally and seen from a single point of view . Here the image is instead read dynamically, through the process of image-making itself. |
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Video, documentation de performance à la compagnie Lieu de Création, 2020 |
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Soft Focus |
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Soft Focus, 2022
Installation à 72 modules
dim. min 45x45x20cm
dim. max 2400cm par côté
Performance 30min, Arina Essipowitsch
Performance 30 min, chorégraphie Eva Borrmann
Interprétation : Susanna Curtis, Alexandra Rauh
La chorégraphe Eva Borrmann et la photographe Arina Essipowitsch ont travaillé ensemble pendant environ un an sur Soft Focus. Il en est résulté une pièce de théâtre pour deux danseuses et une installation photographique sur les thèmes de la féminité, du corps et du kitsch. En se basant sur des moments de la pièce de Borrmann, l’artiste Arina Essipowitsch a développé une installation à grande échelle qui reprend le principe d’incisions et de pliages, procédé redondant dans sa démarche artistique que l’on peut considérer comme une forme de protocole. Pour cette collaboration, l'œuvre est dédoublée en portraits hybrides qui multiplient son principe de mouvements et de déplacement du regard. L’activation par la performance se rejoue à chaque mouvement, permettant toujours au spectateur de devenir acteur(ices) de celle-ci. Le double tirage bi-face permet la répétition et la multiplication d’hybridations entre les images et par les images et les différentes compositions qui s’opèrent à chaque déplacement des tirages dans l’espace. Texte de Julia Opitz
Une coproduction avec la Tafelhalle Nuremberg, financée par la ville de Nuremberg et Sparkassen Kulturstiftung, en coopération avec la Tanzzentrale der Region Nürnberg/Fürth e.V. Ce projet est rendu possible par l'Association bavaroise pour la danse contemporaine (BLZT) avec des fonds du ministère bavarois des sciences et des arts. Avec le soutien du NATIONALE PERFORMANCE NETZ – STEPPING OUT, financé par NEUSTART KULTUR.
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Für Soft Focus arbeiteten die Choreografin Eva Borrmann und die Fotokünstlerin Arina Essipowitsch rund ein Jahr lang zusammen. Es entstand ein Bühnenstück und eine fotografische Installation zu den Themen Weiblichkeit, Körper und Kitsch. Angelehnt an Momente aus Borrmanns Stück entwickelte Essipowitsch eine großflächige Installation. Durch eine spezielle Falttechnik wird diese in einer Performance wieder und wieder verändert. Durch das Falten werden die Betrachtenden zu Performer:innen, versetzen die fotografischen Abzüge in Bewegung und geben ihnen so eine räumliche Dimension.
Performance & installation
Bühnenstück: Konzept, Choreografie: Eva Borrmann
Installation/Faltbuch: Konzept, Fotografie: Arina Essipowitsch
Konzept Performance: Eva Borrmann, Arina Essipowitsch
Performance: Susanna Curtis, Arina Essipowitsch, Alexandra Rauh
Text: Julia Opitz
Eine Koproduktion mit der Tafelhalle Nürnberg, gefördert durch die Impulsförderung der Stadt Nürnberg und die Sparkassen Kulturstiftung, in Kooperation mit der Tanzzentrale der Region Nürnberg/Fürth e. V. Dieses Projekt wird ermöglicht durch den Bayerischen Landesverband für zeitgenössischen Tanz (BLZT) aus Mitteln des Bayerischen Staatsministeriums für Wissenschaft und Kunst. Unterstützt durch das NATIONALE PERFORMANCE NETZ – STEPPING OUT, gefördert von der Beauftragten der Bundesregierung für Kultur und Medien im Rahmen der Initiative NEUSTART KULTUR. Hilfsprogramm Tanz. |
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Documentation de la performance à Kunsthalle Nürnberg, juillet 2022 (extrait) |
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