Une arche de Noé, entre image de salut et réceptacle d’un secret fondamental.
Une tentative de transformation par le feu d’une représentation classique de l’arche de Noé en « Arche Nova », arche de verre réceptacle de codes génétiques.
Une performance motivée par notre changement de rapport au vivant lié au progrès des biotechnologies et du clonage.
Une action pyromane menée le 11 mars 2002 à 20h21 au vieux port de Marseille, sous le fort St Nicolas et offerte comme matériau de création à plusieurs artistes et personnalités : Antoine d’Agata, photographe ; François Bazzoli, historien d’art ; Julien Blaine, poète ; Robert Djian, photographe ; Bruno Etienne, directeur de l’Observatoire du Religieux ; Nicolas Rubinstein, plasticien et Kyôko Satô, vidéaste. |