Marc QUER 

Vue de l'exposition Le bas des tours, espace GT, Mundart, Marseille, 2017

Chacune des pièces présentées est à la fois le reflet de préoccupations personnelles et de présupposés généraux, voire universels. Elles sont autonomes tout en s'intégrant dans un ensemble porteur d'émotion, plus que d'un savoir précis. Des constats simples, des fondamentaux, une réalité au ras du sol, au bas des tours.
 

 

 

Ici, on prend le pain pour les animaux 2003

Un squelette de table de cuisine au ventre vide. Un apel au remplissage.
 

 

 

 
Le grand ensemble 2015

Les cols bleus accrochés en héritage.
 

 

 

Un plan social 2016

L'impression que tout ce qui a été construit par une main-d'œuvre importée, ne lui appartient jamais vraiment : routes, bâtiments, automobiles, etc.
 

 

 

 
En l'an 2000, j'aurai trente-cinq ans 2014

Un alignement de vestes façon stand de vente à la sauvette. Derrière le muret, une réserve.
Une introspection rétrospective.
 

 

 

 
 
Le mur du fond 2016

"Ces publics ne nous intéressent pas". Lessivés.
 

 

 

 
 
20 euros LA PIPE, 50 euros LA MOURE 2016

Un parterre fleuri comme socle de LA MOURE.
 

 

 

Chômeur non indemnisé : poète 2014

De l'académique au format enfantin du type "Longtemps, je me suis couché au nord de la Charte d'Athènes".
 

 

 

 
MEFI, vous êtes ICI 2013

Une croix, le pied d'un sapin de Noël décharné, vient servir d'indicateur de position sur un plan de situation particulier : un permis de détruire. Le lot commun.
Si la barre est trop haute, on peut toujours passer dessous.
 
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