Ces « dessins de poussière » évoquent des images résiduelles, instables et en mouvement, qui semblent affleurer à la surface ou disparaître dans l’oubli en se désagrégeant ou en s’effaçant.
Ils renvoient à des architectures éphémères dont l’impermanence et l’inachèvement se retrouvent dans une manière de dessiner parcellaire et lacunaire. |