Gerlinde FROMMHERZ 

L’ entaille 2010
Vue de l’exposition Si Didon rêvait là-haut, Théo la verrait donc d’ici, Château de Servières, Ateliers de la Ville de Marseille, 2010

Les salles d’exposition de la Galerie de la Ville de Marseille au Bd. Boisson sont des salles aveugles, la seule piece qui dispose de fenêtres est le bureau, normalement fermé aux visiteurs. La salle dans laquelle se situe L’ entaille est dans le parcours de l’exposition la dernière salle, sorte de cul de sac. Par un geste sculptural simple L’ entaille ouvre une brèche dans la cloison qui sépare cette salle du bureau. Elle transforme ainsi le parcours habituel de l’exposition, crée une vue inattendue sur le lieu administratif de la Galerie, et ferme visuellement la boucle des différentes salles. La lumiére du jour entre pour le moment d’une exposition dans cette salle qui d’habitude constitue le point de retours dans le sens de la visite.


L’ entaille 2010
Vue du bureau

L’ entaille 2010
Détail
Photographies Jean-Christophe Lett
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