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SeQ-L 2010
Sculpture, Tubes acier, pvc, dimensions variables
Photographie Jean-Christophe Lett
Converties en modules, les bouchons plastiques de SeQ-L s’enchaînent et prolifèrent des étages aux sous-sols pour squatter l’espace de manière intrusive. Composée sur le mode d’un sample, la pièce dessine des courbes rythmiques infiltrées dans le corps du bâtiment. L’installation articule l’infiniment petit à l’infiniment grand, joue des tensions entre ondes et particules, et revisite la physique version branches ADN ou théorie des cordes. Le titre renvoie à l’idée de trauma inscrit dans la mémoire moléculaire, un trouble induit par accident.
Leïla Quillacq
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Photographie Jean-Christophe Lett
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