Menu
Voir aussi :
- Wonderful Travel Agency
Voir aussi :
- Kral OL
René d'Azur et Sultan Soliman.
Résumé
René d'Azur Sultan Soliman
Nous savons que les premiers ancêtres de René d’Azur vivaient il y a 30000 ans en Siberie depuis la découverte d’une empreinte anale noire dans une roche carbonique inconnue: le début des “annales de René d’Azur“, un thriller préhistorique, la série noire (mais ça c’est une autre histoire).
Là certains d’entre eux se dirigèrent vers l’Est, aux Amériques (les futurs Indiens), les autres vers l’Ouest, traversant l’Asie, la Mésopotamie (il y a 5000 ans), bifurquant, certains vers l’Ethiopie et d’autres la Turquie (notre histoire), jusqu’à aujourd’hui avec une immense descendance autour du monde que nous retrouvons même dans le futur...
Les investigations actuelles de la “Fondation René d’Azur“ nous autorisent à penser qu’un de ces ancêtres nommé As’Ur a vécu en Mésopotamie car une empreinte rose similaire (la série rose) fut découverte dans une rose des sables mise à nu par nos collaborateurs dans le désert en 1997. Certains d’entre eux remontèrent alors l’Euphrate, d’autres le Tigre, d’autres encore les deux. Bref nous savons qu’aux alentours du X° siècle certains d’entre eux étaient installés à Nicosie à Chypre, d’autres à Nicée avant que d’autres encore ne se décident, quelques siècles plus tard, pour Venise.
Le très célèbre homme d’affaire Pietro di Azuro, le père de René, traversa très souvent l’empire Ottoman sur le chemin de la Chine, sa “Rice Road", et nous savons, grâce au livre de compte du comte DonJuan Buenaventura Diaz de Hispalia de la Castilla, dit DJ, que Pietro était très proche du futur sultan Selim et que René, enfant, jusqu’au désastre qui emporta sa famille en 1499, allait chaque année en vacances au palais de Selim jouant pendant deux mois avec son meilleur ami, l’enfant Soliman. Ils étaient comme deux frères.
Après la défaite de Pavie en 1525, François 1°, prisonnier à Madrid, demanda à Louise de Savoie de négocier avec le Grand Turc, Soliman le Magnifique. L’historien français André Clot nous dit: “Ni la date du départ pour Istanbul de la première ambassade ni même le nom du chef de la mission ne nous sont connus. La décision fut prise, sans doute, très peu de temps après l’annonce de la défaite de Pavie par la reine-mère elle-même. L’ambassadeur quittait la France avec de riches présents: un magnifique rubis, une ceinture dorée, quatre chandeliers d’or. Lui-même et les douze personnes qui l’accompagnaient n’arrivèrent jamais. Le pacha de Bosnie les fit tous assassiner à leur passage pour s’emparer des richesses qu’ils transportaient. La cours de France envoya immédiatement une autre ambassade...
Grand vizir Ibrahim
C’est ainsi qu’Ibrahim arbora longtemps au doigt le gros rubis que, disait-il, le roi de France avait porté pendant sa captivité.“ (Soliman le Magnififique, éd. Fayard, p. 172). En réalité des manuscrits restés dans l’ombre jusqu’à hier et que la Fondation peut aujourd’hui étaler au grand jour nous permettent d’affirmer que cette première délégation diplomatique était dirigée par René d’Azur en personne.
Rappelez-vous, en 1515, René, encore nommé Nascimento Essepçaõ di Azuro, étudia une année l’art auprès de Léonard de Vinci alors que celui-ci travaillait pour François 1°. Le roi remarqua alors l’inquiétant talent de l’étudiant favori du Grand Maître et su ses relations amicales avec Soliman. Nous sommes certains qu’il fit appel à René pour entrer en contact avec le Grand Sultan en vue d’une alliance contre le menaçant Charles Quint.
François 1° était certes sceptique au sujet des capacités diplomatiques de ce curieux aventurier et celui-ci ne portait pas dans son coeur ce roi très chrétien. Cependant René accepta la mission, comme à son habitude, pour des raisons toutes personnelles: revoir son vieux frère Sülyman, libérer son frère de piraterie Roger Joly enfermé dans les géôles de Charles Quint, aider ses frères Indiens contre l’Espagne, rendre visite à quelques uns de ses enfants au harem du grand palais d’Istanbul toujours exceptionnellement ouvert pour lui et à Nicée, sa ville préférée (n’oublions pas que René “distribua" 1000+1 enfants autour du globe), peut-être aussi pour se venger de Claus, son cousin germain qui rebaptisa le “Château de Cartes Blanches" en “Château de Quatre Planches", et certainement par dessus tout pour s’amuser.
Roxelane
Toujours est-il que cette première délégation diplomatique fit naufrage dans le détroit des Dardanelles. Tous périrent. Tous sauf un. René d’Azur n’était pas à bord. Par bonheur celui-ci arriva en retard à Marseille pour attraper ce satané bateau. Il se rendit au grand galop à Aix-en-Provence avec son cheval et les cadeaux du roi décrits plus haut par André Clot. Il les confia à un vieil ami, un fils de René 1° (dit “le Bon“ ou “le Bitch“, nous ne savons plus), qui lui causera plus tard de nombreux problèmes à ce sujet. Puis, rattrapant un sacré bateau à Nice, il voyagera avec ses propres présents: un noyau rouge d’olive noire pour le premier vizir Ibrahim qui adorait son sens de l’humour (le futur joyau), trois cadeaux pour Soliman: quatre osselets en argent et un en or en souvenir de leurs jeux d’enfant, une corne de cerf argentée ramenée des environs de Göteborg en Suède, bizarement appelée “arm-map“, pour lui conter son dernier voyage en Europe et une petite main en ivoire pour se gratter le dos. René en avait cassé le petit doigt pour Roxelane, la favorite de Soliman surnommée “Hurrem“ (“gaie“ ou “gay“, nous ne savons plus), pour se gratter l’oreille, objet malheureusement disparu à tout jamais.
Lorsque François 1° appela René à son aide, ce dernier, dans l’attente de la libération de son pirate associé, Roger, visitaient ses vieux enfants à travers l’Europe, procréant encore et toujours par la même occasion. Il sillonait alors la Scandinavie vêtu d’un drôle de costume rouge et de surprenantes bottes, les “snow-shoes“, de son invention et amenés d’Amazonie. Pour leur faire la surprise il leur disait alors: «PEEK A BOO! SANTA CRUZ!» (Santa Cruz étant le premier nom du Brésil), puis: «PEEP MY ASS! SANTA CLAUS!» (peut-être pour se moquer de son maudit cousin germain). Il leur offrait alors une couronne dorée et leur disait: «Sois le Roi». Il en fera de même avec ses enfants ottomans leur déclarant: «Kral Ol».
Il accouru aussi vite que possible en Turquie. A son habitude, il fut génial et catastrophique, généreux et chaotique. A ce propos, son intuition le poussa à développer une sorte de “théorie physique du chaos“. Il répétait sans cesse: “QUE LE CHAOS SOIT AVEC NOUS!». Une fois de plus cette période de sa vie eut de lourdes conséquences autour du monde. Encore aujourd’hui. Par exemple sur les gens qui se rendent à la banque, qui jugent d’autres gens, qui se réunissent pour des cérémonies, qui grimpent la montagne, qui prennent l’avion, etc...
Barberousse
Plus tard, en 1543, nous croyons savoir que René d’Azur retournera à Istanbul pour organiser avec Barberousse l’attaque de Nice dans le sud de la France. Il aura là d’autres missions d’espionnage et une courte histoire d’amour avec Catherine Ségurane, la célèbre lavandière qui montra ses fesses à l’ennemi et sauva sa ville le 15 août de la même année.
La Fondation est en permanence en recherche d’indices permettant de mettre en lumière cette partie méconnue de l’Histoire et la fantaisie géniale et désastreuse de René d’Azur à cette époque.