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- Bucco di Bocca
“La réincarnation n’a désormais plus aucun secret pour la science moderne. Il a en effet été prouvé récemment par les équipes de la Fondation René d’Azur que la résurrection de la chair se réalisait à partir des orifices (ou bouches: entrée/sortie). Par exemple: prenons une bouche (ou orifice) et coupons-la en deux, tout comme avec un ver de terre, nous obtiendrons deux bouches qui à leur tour partagées en deux produiront quatre bouches et ainsi de suite”.

Telle est la conclusion du lourd dossier de la Fondation René d’Azur sur cet épineux problème suite à une série de découvertes déconcertantes effectuées par nos équipes d’archéologues ces dernières années.
Tout commença par la mise au jour d’une empreinte rectale préhistorique fossilisée dans une roche noire inconnue dite ”série noire” pour la double raison qu’elle serait la preuve carbonisée et fatale d’une série de crimes obscurs commis en Sibérie (ou ailleurs) il y a quelques trente milliers d’années (ou plus) par un ancêtre du dieu sumérien Assur, un serial killer.
La série se poursuit par la non moins surprenante découverte non loin de Babylone, dans le désert, d’autres traces anales identiques cristallisées dans une rose des sables très élégante appelée ”série rose“ trahissant les amours illicites des dieux mésopotamiens sous la dynastie As’Ur il y a 5000 ans .
Leurs descendants émigrés bien plus tard à Venise sous le nom de Lazzuli entre le premier et le X° siècle nous laissent un sceau dans la pierre du même nom et à la même ”effigie” grossière, joyau familial conservé jusqu’à l’aube de la Renaissance par Pietro di Azuro, père de René d’Azur, qui clot la ”série bleue” en 1499 .
Pour finir, le nord du Brésil, non loin de Casazul dans l’Amapà, a livré à un de nos envoyés spéciaux un agglomérat de pépites d’or portant la même marque rectale qui aurait appartenu à René d’Azur lui-même, inaugurant la ”série d’or” .
Affaire à suivre.

”Les annales de René d’Azur”: histoires à suivre...